capacité à participer aux émotions des autres

Verbaliserses émotions. La gestion des émotions passe avant tout par la mise en mots de ses ressentis, par l’expression de nos perceptions. Le support de la parole permet de mettre à distance certaines émotions trop envahissantes et de conscientiser des émotions restées à l’état brut (parfois depuis l’enfance). Lacapacité à prendre la parole, à chercher de l’aide quand c’est nécessaire, à écouter les autres enfants ou les adultes, à coopérer est cruciale pour le bien-être dans la classe ». Comme le cerveau des enfants est encore très malléable, ils ont besoin de nouer des relations qualitatives avec leur environnement familial, social et scolaire. Lessix émotions fondamentales. Le psychologue américain Paul Eckmann, a identifié 6 émotions fondamentales, à partir des expressions faciales dans différentes cultures: La peur😱. La tristesse😭. La colère😡. Le dégoût 🤢. la surprise😲. La joie😂. Comme tu le vois, remercions grandement la joie d’exister! Ilexiste une dizaine d'émotions négatives : la peur, qui se définit comme un sentiment d' angoisse face à un danger réel ou supposé. la déception, générée par une insatisfaction ou un échec, l' anxiété qui se traduit par un sentiment d'insécurité, la culpabilité, la frustration, la honte. la jalousie. 5stratégies d’apprentissage socio émotionnele. Les écoles jouent un rôle critique dans le développement des cinq compétences socio-émotionnelles fondamentales . 1. Autoriser des échecs, des erreurs et des expériences. L’expérience est un facteur fondamental pour tout apprentissage. Chaque enfant va tomber pour apprendre à se nonton film siyah beyaz ask sub indonesia lk21. Cette aptitude empathique est l’une des facultés des êtres hypersensibles. J’ai trouvé un témoignage intéressant, celui d’une femme qui parvient à mettre des mots sur une situation qu’elle vit difficilement, lui permettant de comprendre, puis d’inverser les choses après avoir fait une bonne rencontre. Auparavant vécu comme une tare, elle dit profiter pleinement aujourd’hui de ce qu’elle considère être un atout formidable l’empathie. Avez-vous cette capacité innée de ressentir ce que les autres ressentent ? Avez-vous déjà ressenti des difficultés pour respirer, quand tout le monde vous regarde ? Quand on vous inspecte en détail ? Ou bien, vous êtes-vous déjà senti épuisé, au-delà de ce que vous auriez pu imaginer, après une journée de travail avec plein de monde ou à un événement particulièrement animé ? Peut-être y a-t-il aussi une personne en particulier dans votre entourage qui vous épuise tellement quand vous le rencontrez, que vous avez l’impression qu’il aspire toute votre énergie, vous laissant totalement amorphe après coup ? Comment vous expliquez-vous tout cela ? Ces expériences, je les ai vécues au quotidien, durant toute ma vie. Dès mon enfance, je me souviens que j’avais du mal à marcher à l’école, si préoccupé par le regard des autres, leurs jugements, leurs impressions et critiques. C’était comme si je pouvais ressentir toutes ces choses sans que personne ne dise rien. J’ai la capacité de ressentir ce que les autres ressentent. Des années plus tard, les choses ont continué dans la lourdeur, la tristesse, le stress et l’anxiété… avec toujours en arrière-plan, un sentiment général d’inconfort. C’est comme si je portais littéralement un poids sur mes épaules, une lourdeur physique difficile à définir, qui m’accablait tout temps le temps. Et rien de tout cela ne semblait avoir de sens. Accablée malgré tout J’avais 25 ans et ma vie était fantastique. Je venais juste d’obtenir un emploi de rêve dans une agence de création de boutiques. Je pouvais compter sur le soutien fantastique de mes amis et ma famille. Je vivais dans un bel appartement bien situé. Vu de l’extérieur, on ne pouvait pas rêver mieux. Mais le malaise ne s’est pas dissipé, ce n’est pas faute d’avoir tenté de le repousser loin de moi. C’était véritablement comme si je ressentais tous les sentiments des autres. J’en étais à me demander si la folie ne me guettait pas… Je me sentais constamment accablée. Que je sois à la maison, au bureau, dans le train, même à la plage par une belle journée ensoleillée. Qu’est-ce qui clochait? J’ai appris un terme dont je n’avais jamais entendu parler auparavant l’empathie. À ce moment, j’ai compris que ma vie allait changer pour toujours. J’avais besoin d’aide, mais je ne savais pas par où commencer. Donc j’ai fait ce que je savais faire partager mes ressentis avec autant d’amis que possible. J’attendais de voir si quelqu’un pouvait me diriger dans la bonne direction. Finalement, deux amis m’ont suggéré d’essayer le Reiki, des soins énergétiques. Pour eux, je semblais être en prise à un ou plusieurs blocages énergétiques. On m’a conseillé une thérapeute qui allait pouvoir m’aider sur plusieurs points, à commencer par mon initiation au Reiki. Lors de ma première rencontre avec Rebecca, son attitude posée m’a prise au dépourvu. Elle incarnait le calme et la sérénité -ce à quoi j’aspire depuis toujours. Je sentais que j’étais au bon endroit. Nous avons parlé de ce que je vivais et, plus important encore, de la lourdeur que je ressentais depuis un certain temps. Elle a tout compris. Puis elle a mentionné un terme dont je n’avais jamais entendu parler auparavant, un terme qui allait catalyser ma guérison, transformer ma vie en m’aidant à trouver ma voie l’empathie. Une personne empathique, comme je l’ai appris, est quelqu’un qui a la capacité de ressentir ce que les autres ressentent. Parfois à un tel point qu’il peut effectivement devenir difficile pour lui, de discerner les émotions des autres personnes de ses propres émotions. Les empathiques peuvent également absorber les émotions et l’énergie des autres, quoique inconsciemment. Ils peuvent ainsi avoir l’impression d’avoir un cœur constamment ouvert, comme une éponge absorbant toutes les émotions et énergies présentent et ainsi, apporter du bien-être aux autres sans même avoir l’intention de le faire. J’ai ressenti cela toute ma vie. J’étais une éponge à émotion. J’ai été régulièrement épuisé par des situations sociales dans lesquelles je sentais que les gens prenaient toute mon énergie. Plus tard, j’ai compris que ce n’était pas de leur faute. Jusqu’à maintenant, inconsciemment, j’étais cette éponge, le cœur grand ouvert, désireuse de me connecter avec tout le monde et, absorbant les émotions de chacun -les bonnes comme les mauvaises, ainsi que des choses plus confuses. Enfin, je trouvais un certain soulagement. Après ma première séance thérapeutique de Reiki, je me sentais si légère et sereine, comme jamais auparavant. Le poids qui pesait sur mes épaules avait disparu. Tous les blocages, si nombreux et tellement ancrés en moi, se sont effacés. Mon énergie était globalement bien plus équilibrée. Je me sentais moi-même à nouveau. Quel cadeau ! À ce moment, je savais que ma vie allait changer pour toujours. Je savais également qu’il fallait que j’étudie sérieusement pour apprendre à me protéger et devenir autonome avec ma faculté d’empathie nouvellement identifiée. C’était comme si une capacité superpuissance cachée en moi m’avait finalement été révélée, alors que je l’avais toujours mal interprétée. Je la considérais comme un fardeau parce que je ne savais pas comment m’y prendre, en confiance et intentionnellement. Avec cette petite graine de connaissance, tant de portes ont commencé à s’ouvrir. Quelqu’un m’a conseillé la lecture de The Aquarian Empath de Irma Kaye Sawyer, considérée comme une chef de file de la pensée, thérapeute, enseignante et créatrice de Cosmic Météo. Le livre suivant sur ma liste de lecture était Your 30-Day Empath Empowerment Program par Rose Rosetree . Dès que j’ai lu ces livres, j’ai compris que je n’étais pas seule. En fait, j’ai appris qu’il y avait effectivement beaucoup d’autres personnes dans le monde qui partagent cette expérience. Cette idée charnière m’a apporté de l’espoir, laissé percevoir d’autres possibles. J’étais en bonne voie pour un nouveau départ, ouverte à de nouvelles expériences. Une fois que l’on apprend à prendre soin de soi-même, on a tant de merveilleux cadeaux à offrir au monde. Surtout en ce qui concerne le soutien que l’on peut apporter aux autres. J’ai commencé par apprendre à prendre soin de moi, comment protéger mon énergie et comment discerner mes propres sentiments de ceux des autres. Mon monde s’est ouvert. Avec un soutien approprié, j’ai libéré de l’espace dans ma vie pour de nouvelles possibilités, de nouvelles relations, de nouvelles activités créatives et bien plus encore. La plupart du temps, je suis en phase avec mon système de valeur qui inspire maintenant tout ce que je fais et ce que je défends. Aujourd’hui, je suis heureuse de parvenir à apporter de l’aide aux autres de façon significative. Tous me disent qu’ils sont touchés par mon empathie. J’aide les gens à être en paix avec eux-mêmes. Je les guide pour qu’ils apprennent à s’aimer et à prendre grand soin d’eux. Je les aide à exprimer le meilleur d’eux-mêmes. Jour après jour, la vie nous révèle combien l’empathie est un véritable cadeau. Étant donné que nous ressentons ce que les autres ressentent, nous communiquons d’une manière qui les touche sincèrement. Une connexion à ce niveau relationnel plus profond ouvre un espace puissant de guérison qui permet la transformation, souvent à un rythme accéléré. Une fois que nous apprenons à prendre soin de nous-mêmes, nous avons tant de merveilleux cadeaux à offrir au monde, tant de soutien à apporter aux personnes qui en ont besoin. Le plus important, le plus beau de tous les cadeaux, est d’apprendre à se faire confiance et se fier véritablement à son intuition. Au plus profond de nous-mêmes, on sait que notre cœur trouve toujours le chemin. D’après un texte en anglais de Sydney Campos paru sur La sensibilité ou l’empathie ne sont pas des tares, bien au contraire, ces aptitudes deviennent des atouts, pour peu que l’on parvienne à les comprendre et les accepter. Dites-le autour de vous Skip to content Qui suis-je et pourquoi ce blog ?CitationsBibliothèque bienveillantePour les enfantsPour les adultes 7 étapes pour apprendre à reconnaître ses émotions un atout pour la vie 7 étapes pour apprendre à reconnaître ses émotions un atout pour la vie Pourquoi apprendre aux enfants à reconnaître leurs émotions ? Tant que le cerveau n’a pas atteint sa pleine maturité pas avant 20 ans, certains chercheurs affirmant même vers 30 ans, les processus de gestion des émotions ne sont pas totalement fonctionnels. L’enfant a alors des difficultés à contrôler et maîtriser ses réactions émotionnelles. L’enfant n’est pas en mesure de gérer l’ensemble des émotions qui affluent en lui du fait de l’incomplétude de ses réseaux neuronaux. Le cortex préfrontal est incapable de jouer son rôle de régulateur des émotions fortes. L’apprentissage du langage des émotions aura alors sur l’enfant un impact sur son comportement social, et notamment sa capacité à surmonter le stress, à gérer son agressivité et à exprimer ses affects. Par ailleurs, un enfant qui enfouit ses émotions, ses peurs, qui ne peut pas manifester sa joie ou sa colère, n’apprend pas à tenir compte de ce que lui ou les autres ressentent. Il ne développe pas d’empathie, pas de bienveillance ni pour lui-même, ni pour les autres. Quand un enfant apprend à repérer ses émotions et à repérer le message envoyé par son corps, il arrive mieux à s’adapter et à comprendre ce qui compte pour lui mais aussi pour les autres. Par quelle attitude accompagner ce travail de découverte ? Le fait d’apprendre à l’enfant à nommer une émotion et à la reconnaître dans ses manifestations physiologiques sera encore plus efficace quand le parent accueille avec une attitude bienveillante ses émotions. Lécoute empathique qui consiste à reformuler et à réfléchir en miroir les sentiments est parfaite pour montrer à l’enfant que on accepte son émotion, même pour une bricole ou une grosse frustration, nous cherchons avec lui à mettre du sens sur elle. Jeanne Siaud-Facchin décrit les 5 avantages d’une posture accueillante, ouverte et bienveillante 1. L’enfant comprend que son émotion est acceptable, quelle qu’elle soit. L’enfant a le droit d’avoir peur, d’être triste, de se sentir en colère, d’être joyeux. 2. L’enfant a appris à reconnaître les sensations de l’émotion et à la nommer. 3. Il peut ressentir dans son corps ce que l’émotion produit. 4. Il en déduit donc le sens de l’émotion ce qui l’a touché au plus profond de lui. 5. Il peut s’adapter en étant présent à l’émotion et à ce qu’elle lui a fait comprendre de lui, de la situation. Quelles sont les émotions primaires ? Face à un événement, une émotion est une réaction automatique qui se traduit par des sensations physiques. Il existe 6 émotions primaires universelles dont on peut repérer les expressions faciales dans tous les peuples humains. Une émotion peut générer des sentiments ou des états affectifs associés. Connaître ces derniers permettra aux enfants de reconnaître et nommer l’émotion qui les habite. 1. La peur La peur signale la présence d’un danger, réel ou imaginaire. La peur protège et entraîne plusieurs stratégie pour faire face à la menace fuite, attaque ou sidération. Les réactions corporelles de la peur se traduisent par un afflux de sang dans les muscles pour courir plus vite, avoir plus de force…, une montée d’adrénaline pour augmenter la puissance et une accélération du rythme cardiaque pour préparer à l’effort. 2. La colère La colère surgit quand ce qui est essentiel pour nous est menacé, quand on essaie de nous imposer quelque chose, que notre territoire est envahi. mais colère n’est pas synonyme d’agressivité l’agressivité est seulement une expression inappropriée de la colère. La colère déclenche une concentration d’énergie. 3. La tristesse La tristesse est un retour au calme, un retour à soi. Le retour au calme donne le temps nécessaire pour intégrer l’événement douloureux, l’élaborer, pour se régénérer, trouver de nouveaux repères et reprendre le cours de la vie. La tristesse se traduit par un ralentissement du rythme du corps. 4. Le dégoût Le dégoût permet de ne pas accepter ce qui n’est pas bon pour nous, de ne pas avaler n’importe quoi. Le dégoût se traduit par une sensation de nausée. 5. La surprise La surprise prépare au changement. Elle se traduit par un élargissement des perceptions visuelles et auditives grâce à la mobilisation rapide et concentrée des neurones. 6. La joie La joie augmente l’énergie disponible et le bien-être. Elle se traduit par la sécrétion d’hormones du plaisir ocytocine, endorphine… qui développent l’optimisme. A quoi servent les émotions ? Pour Jeanne Siaud-Facchin, les émotions sont des guides fidèles. Ce sont elles qui nous mettent en action et sont indispensables à la vie humaine car elles nous aiguillent sur la réaction la mieux adaptée à notre environnement. Une émotion est à considérer comme une réaction du corps à un stimulus elle nous indique la nature de la situation la présence d’un danger éventuel, une souffrance, une réjouissance… et comment il convient d’y répondre. Il n’existe pas à proprement parler d’émotions négatives ou positives. Toutes les émotions ont une fonction. C’est ce que l’on va donner comme sens à l’émotion qui en fera une émotion agréable ou désagréable. Toutes les émotions ont une valeur importante, sans connotation. – Jeanne Siaud-Facchin Pour reconnaître une émotion, il est alors essentiel de capter les sensations corporelles, ce qui se passe à l’intérieur, les envies ressenties. Les émotions sont des indices sur soi. Extrait de Tout est là, juste là de Jeanne Siaud-Facchin 7 étapes pour apprendre à reconnaître les émotions Dans son livre Tout est là, juste là Méditation de pleine conscience pour les enfants et les ados aussi, Jeanne Siaud-Facchin propose un exercice en 7 étapes pour entraîner les enfants à reconnaître leurs émotions. 1. Où sens-tu l’émotion dans ton corps ? Cette première étape permet de relier les émotions dans la tête et dans le corps un tiraillement, un pincement, des mains moites, un serrement dans la poitrine…. 2. Centration sur la perception Tu te centres sur ta perception corporelle et tu ne cherches pas à la modifier. 3. Respiration Tu prends conscience de ta respiration, de son mouvement, et tu mets ta respiration à l’endroit de ton corps où se trouve ton émotion. Tu respires dans ce point comme si l’air entrait et sortait de cet endroit de ton corps. 4. Observation des pensées Tu observes tout ce qui se passe. Dès que tu vois des pensées comme “J’en ai marre, tout m’énerve, j’ai mal, ça suffit, c’est pas juste, j’aurais dû…”, tu les laisses passer comme si tu étais une vache qui regarde un train passer. Tu observes, c’est ta mission. 5. Retour à l’endroit où se trouve l’émotion Dès que tu te rends compte que tu t’es perdu dans tes pensées, tu reviens à l’endroit de ton corps où se trouve l’émotion, autant de fois que tes pensées de dispersent. 6. Élaboration des pensées Est-ce ça n’a pas déjà un peu changé ? Est-ce que ton émotion ne s’est pas déjà un peu transformée ? Est-ce que tu ne te sens pas un peu moins triste, en colère ou toute autre émotion ? Est-ce que tu ne vas pas finalement faire tout à fait autre chose que ce que tu aurais fait en étant sous l’emprise de ta tristesse, comme te mettre dans un coin et te sentir encore plus seul, ou te disputer avec le copain qui a déclenché ta colère ? 7. Partage avec l’enfant Le parent partage avec l’enfant la façon dont il a vécu cet épisode, les impressions qu’il a ressenties. ……………………………………………………………………………….. Source Tout est là, juste là Méditation de pleine conscience pour les enfants et les ados aussi de Jeanne Siaud-Facchin éditions Odile Jacob. Disponible en médiathèque, en librairie ou sur internet. Commander Tout est là, juste là sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac Nous utilisons des cookies sur notre site internet pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et les visites répétées. En cliquant sur Accepter», vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies. Privacy Overview This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience. 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These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads. Other uncategorized cookies are those that are being analyzed and have not been classified into a category as yet. Les émotions sont des expériences physiologiques complexes que nous vivons à la suite d'interactions avec notre entourage. Dans cet article, nous allons voir quelles sont les principales théories sur les émotions, c’est-à-dire les différentes façons par lesquelles la psychologie peut les émotions représentent des sentiments qui entraînent des changements physiques et psychiques affectant la pensée et le comportement. L’émotivité s’ajoute à une variété de phénomènes cérébraux tels que le tempérament, la personnalité, l’état d’esprit et la David G. Meyers, professeur de psychologie au Collège Hope dans le Michigan Etats-Unis et auteur de près d’’une vingtaine de livres, les émotions humaines impliquent “… une excitation physiologique, conduites expressives et une expérience consciente.”Il y a des émotions positives et des émotions négatives. Celles-ci peuvent être liées à un objet, un souvenir, un pronostic, etc. D’autres seraient programmées à l’avance, dès la naissance et seraient universelles telles que l’amour, la joie, la surprise, la colère ou la peur. Ce sont les émotions nombreuses théories sur les émotions ont pu voir le jour au fil du temps. Quelles sont donc les plus importantes ?Les théories sur les émotionsLes émotions exercent une influence très puissante sur le comportement. Mais, pourquoi donc avons-nous des sentiments ? Quelle en est la cause ? Des chercheurs, philosophes et psychologues ont proposé des idées et autres théories sur les émotions pour expliquer le pourquoi et le comment de leur peuvent être regroupées en trois catégories Les théories physiologiques, qui affirment que les réponses à l’intérieur du corps sont responsables des émotions Les thèses neurologiques, qui soutiennent que l’activité à l’intérieur du cerveau entraînent des réponses émotionnelles Les études cognitives, qui suggèrent que les pensées et autres activités mentales jouent un rôle essentiel dans la formation des émotions La théorie évolutive des émotions, la première des théories sur les émotionsL’approche évolutive se concentre sur le contexte historique dans lequel se sont développées les émotions. D’après la théorie évolutive des sentiments, nos émotions existent parce qu’elles favorisent notre adaptation. Ainsi, par exemple, elles nous incitent à réagir avec rapidité aux stimuli de notre entourage, ce qui aide à améliorer nos possibilités de succès et de Darwin suggère que les émotions ont survécu à l’évolution car elles ont la capacité de s’adapter et permettent aux humains et animaux de survivre et de se reproduire. Les sentiments d’amour et d’affection poussent les gens à chercher à se mettre en couple et à se reproduire. Les sentiments de peur, à lutter ou à fuir la source du et comprendre les émotions des autres joue aussi un rôle crucial dans la sécurité et la survie. En sachant interpréter correctement les manifestations émotionnelles d’autres personnes, nous pouvons, par exemple, réagir face au danger et de la meilleure théorie des émotions de James-LangeLa théorie des émotions de James-Lange a été proposée indépendamment par William James et Carl Lange. Celle-ci suggère que les sentiments proviennent de réactions physiologiques à des au fur et à mesure que nous vivons différentes expériences, notre système nerveux développe des réactions physiques associés à celles-ci. La réaction émotionnelle dépendrait donc de la façon dont sont interprétées ces réactions physiques. Les exemples de ces réactions physiques incluent une augmentation de la fréquence cardiaque, des tremblements, des maux d’estomac, etc. Ces dernières génèrent à leur tour d’autres réactions émotionnelles telles que la colère, la peur et la théorie des émotions de Cannon-BardLa théorie des émotions de Cannon-Bard a été développée par les physiologistes Walter Cannon et Philip Bard. Walter Cannon n’était pas d’accord avec la théorie des sentiments de James-Lange sur de nombreux effet, Cannon a suggéré que les gens peuvent avoir des réactions physiques en lien avec des émotions sans réellement ressentir ces dernières. D’autre part, selon lui, les réponses émotionnelles se produisent trop rapidement pour simplement être les produits d’états a d’abord proposé sa théorie dans les années 1920. Puis, son travail a par la suite été développé par le physiologiste Philip Bard durant les années 1930. D’après la théorie des sentiments de Cannon-Bard, nous ressentons les émotions et éprouvons des réactions physiologiques simultanées comme la sueur, les tremblements et la tension précisément, Cannon-Bard suggère que les sentiments se produisent lorsque le thalamus envoie un message au cerveau en réponse à un stimulus. Ceci a pour résultat une réaction physiologique. Au même moment, le cerveau reçoit également des signaux déclenchant l’expérience émotionnelle. La théorie de Cannon et Bard soutient que l’expérience physique et psychologique de l’émotion se produit simultanément et que l’une ne cause pas l’ théorie des émotions de Schachter-SingerElle a été développée par Stanley Schachter et Jérôme E. Singer. En effet, selon eux, la raison joue un rôle important dans la manière dont nous vivons nos théorie de Schachter et Singer se base autant sur la théorie de James-Lange que sur celle de Cannon-Bard. Comme celle de James-Lange, celle-ci soutient que les personnes déduisent les émotions en se basant sur des réponses physiologiques. Le facteur important serait la situation et l’interprétation que les personnes font de ces événement provoque l’excitation physiologique, nous essayons de l’expliquer. Ensuite, nous vivons l’expérience et étiquetons le sentiment. Similaire à la théorie de Cannon-Bard, celle de Schachter-Singer soutient également que des réponses physiologiques similaires peuvent produire des émotions théorie de l’évaluation cognitiveSelon la théorie de l’évaluation des émotions, la pensée précède les émotions. Richard Lazarus a été le pionnier de cette étude. C’est pourquoi nous connaissons souvent cette théorie sous le nom de la théorie de celle-ci, la séquence d’événements implique tout d’abord un stimulus, suivi de la pensée, qui mène ensuite à l’expérience simultanée d’une réponse physiologique et de l’émotion. Par exemple, si vous voyez un ours dans la forêt, vous pensez immédiatement que vous êtes en danger. Ceci amène l’expérience émotionnelle de la peur et les réactions physiques associées à la lutte ou la théorie du sentiment de rétro-alimentation facialeEnfin, la théorie de rétro-alimentation faciale, la dernière de notre liste de théories sur les émotions, indique que les expressions du visage peuvent influer sur l’expérience émotionnelle. Les partisans de cette théorie suggèrent que les émotions sont directement liées aux changements des muscles exemple, une personne pourrait améliorer son humeur en souriant. En outre, de la même façon, elle pourrait l’empirer si elle fronce les sourcils. Le plus surprenant dans cette théorie est qu’elle nous explique que nous pourrions générer des émotions en dessinant volontairement sur notre visage certaines de ses expressions plus Darwin a été l’un des premiers à suggérer que les changements physiologiques causés par une émotion ont un impact direct au lieu d’en être la seule conséquence. Poursuivant cette idée, William James a proposé que contrairement à la croyance populaire, la conscience des changements physiques activés par un stimulus est l’émotion. Ainsi, vous ne vous en rendez pas compte. Il n’existerait alors qu’une pensée intellectuelle, dépourvue de chaleur pourrait vous intéresser ... Se construire comme personne singulière au sein d’un groupe Se construire comme personne singulière, c'est découvrir le rôle du groupe dans ses propres cheminements, participer à la réalisation de projets communs, apprendre à coopérer. C'est progressivement partager des tâches et prendre des initiatives et des responsabilités au sein du groupe. Par sa participation, l'enfant acquiert le goût des activités collectives, prend du plaisir à échanger et à confronter son point de vue à celui des autres. Il apprend les règles de la communication et de l’échange. L’enseignant a le souci de guider la réflexion collective pour que chacun puisse élargir sa propre manière de voir ou de penser. Ainsi, l’enfant trouve sa place dans le groupe, se fait reconnaître comme une personne à part entière et éprouve le rôle des autres dans la construction des apprentissages. Dans un premier temps, les règles collectives sont données et justifiées par l'enseignant qui signifie à l'enfant les droits s’exprimer, jouer, apprendre, faire des erreurs, être aidé et protégé… et les obligations dans la collectivité scolaire attendre son tour, partager les objets, ranger, respecter le matériel.... Leur appropriation passe par la répétition d'activités rituelles et une première réflexion sur leur application. Progressivement, les enfants sont conduits à participer à une élaboration collective de règles de vie adaptées à l’environnement local. À travers les situations concrètes de la vie de la classe, une première sensibilité aux expériences morales sentiment d’empathie, expression du juste et de l’injuste, questionnement des stéréotypes… se construit. Les histoires lues, contes et saynètes y contribuent ; la mise en scène de personnages fictifs suscite des possibilités diversifiées d’identification et assure en même temps une mise à distance suffisante. Au fil du cycle, l’enseignant développe la capacité des enfants à identifier, exprimer verbalement leurs émotions et leurs sentiments. Il est attentif à ce que tous puissent développer leur estime de soi, s’entraider et partager avec les autres. Getty Images/iStockphoto 10 méthodes pour gérer intelligemment les personnes toxiques Getty Images/iStockphoto Les personnes toxiques défient la logique. Certaines ne se rendent absolument pas compte de l'influence négative qu'elles exercent sur ceux qu'elles côtoient; d'autres semblent se plaire à semer la zizanie et à provoquer les autres. Quoi qu'il en soit, elles sont une source de complications inutiles, de conflits et, pire que tout, de stress. Le Dr Travis Bradberry vous explique comment les éviter et garder vos distances. Le stress peut avoir un impact négatif durable sur notre cerveau. Quelques jours suffisent à entraver l'efficacité des neurones de l'hippocampe une région liée au raisonnement et à la mémoire. Si le stress se prolonge durant plusieurs semaines, il peut entraîner des dégâts réversibles au niveau des dendrites des neurones les petits "bras" qui permettent aux cellules de communiquer les unes avec les autres. En revanche, un stress de plusieurs mois peut détruire nos neurones de manière définitive. Il constitue donc une terrible menace pour vos chances de réussite; s'il échappe à votre contrôle, votre cerveau et votre efficacité peuvent en pâtir. Getty Images Getty Images La plupart des sources de stress au travail sont faciles à identifier. Si votre association à but non lucratif cherche à obtenir une subvention dont elle a besoin pour fonctionner, vous y êtes forcément sujet et vous savez probablement le gérer. Ce sont les sources de stress inattendues qui vous affectent le plus. Maintenir de la distance Une récente étude du service de psychologie biologique et clinique de l'université Frietrich Schiller, en Allemagne, a montré que l'exposition à des stimuli entraînant des émotions négatives intenses analogues à celles que vous éprouvez quand vous avez affaire à des personnes difficiles générait un grand stress dans le cerveau des sujets. Par leur mauvais esprit, leur cruauté, leur posture victimaire ou leur folie, les personnes ingérables vous plongent dans un état de stress extrême qu'il faut éviter à tout prix. La capacité à gérer ses émotions et à rester calme même quand on est sous pression est étroitement lié à votre efficacité. TalentSmart a mené des études sur plus d'un million de personnes, et nous avons découvert que 90% des sujets les plus efficaces savent gérer leurs émotions dans les périodes de stress, ce qui leur permet de rester calmes. L'une de leurs qualités les plus précieuses est la capacité à neutraliser les personnes difficiles. Les individus les plus efficaces disposent de stratégies bien rodées pour les maintenir à distance. J'ai répertorié un grand nombre de stratégies efficaces pour gérer ces personnes. Voici quelques-unes des meilleures. Vous devez adopter une approche qui vous permettre, de manière générale, de contrôler ce qui peut l'être et d'éliminer le reste. Ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est que vous maîtrisez bien plus de choses que vous ne le pensez. 1. Ne pas se laisser envahir courtneyk via Getty Images courtneyk via Getty Images Les personnes négatives et celles qui n'arrêtent pas de se plaindre sont problématiques parce qu'elles se complaisent dans leurs difficultés au lieu de se concentrer sur les solutions. Elles veulent attirer les autres dans leur auto-apitoiement pour améliorer leur estime de soi. Les gens se sentent souvent obligés d'écouter ceux qui se plaignent, parce qu'ils ne veulent pas paraître insensibles ou grossiers, mais on peut vite se laisser entraîner dans la spirale négative de ces personnes. Vous éviterez cet écueil qu'en fixant des limites et en gardant vos distances quand il le faut. Considérez les choses sous cet angle si la personne qui se plaint était en train de fumer, vous ne resterez pas assis près d'elle tout l'après midi pour respirer sa fumée. Vous mettriez de la distance, et c'est exactement ce que vous devez faire. Une bonne méthode consiste à leur demander comment ils comptent régler leur problème. Ou bien ils se calmeront, ou bien ils passeront à quelque chose de plus constructif. 2. Prendre de la hauteur Les personnes difficiles vous rendent dingues parce que leur comportement est irrationnel à l'extrême. Alors, pourquoi vous laisser aller à leur répondre de manière émotionnelle, plongeant malgré vous dans la mêlée? Plus une personne est irrationnelle, plus il vous sera facile d'échapper à ses pièges. N'essayez plus de la battre à son propre jeu. Tenez-la à distance et gérez vos interactions comme s'il s'agissait d'un TP de chimie ou bien imaginez que vous êtes son psy, si vous préférez cette analogie. Rien ne vous oblige à réagir au chaos émotionnel; restez sur le terrain factuel. 3. Être conscient de ses émotions Conserver une bonne distance émotionnelle demande de la lucidité. Vous ne pourrez pas empêcher quelqu'un de vous provoquer si vous n'êtes pas capable de vous en rendre compte au moment où cela se produit. Il vous arrivera de vous retrouver dans des situations où vous aurez besoin de vous regrouper et d'opter pour la meilleure ligne de conduite. C'est tout à fait normal, et vous ne devez pas avoir peur d'y consacrer tout le temps nécessaire. Voyez les choses ainsi si une personne dérangée vous aborde dans la rue et vous dit qu'elle est John Kennedy, il y a peu de chance que vous tentiez de la détromper. Quand un de vos collègues part dans un délire comparable, le mieux est parfois de sourire et d'acquiescer. Si vous êtes dans l'obligation de le ramener à la raison, il vaut mieux prendre le temps de choisir le meilleur plan d'action. 4. Poser des limites C'est sur ce point que la plupart des gens ont tendance à se laisser faire. Ils ont le sentiment que, parce qu'ils travaillent ou vivent avec quelqu'un, ils n'ont aucune prise sur le chaos induit par cette cohabitation. Rien n'est plus faux. Une fois que vous aurez trouvé le moyen de prendre de la hauteur vis-à-vis de quelqu'un, vous commencerez à trouver son comportement plus facile à prédire et à comprendre. Cela vous rendra à même de déterminer rationnellement quand et jusqu'à quel point il vaut mieux vous montrer ou non tolérant. Même si vous collaborez étroitement sur un projet avec une personne au sein d'une équipe, cela ne signifie pas que vous devez interagir de la même manière avec tous les membres de cette équipe. Vous pouvez tracer une frontière, mais vous devez le faire avec lucidité et de manière proactive. Si vous laissez les choses se faire d'elles-mêmes, vous risquez de vous laisser entraîner dans des discussions difficiles. Si vous décidez du moment et du lieu où vous aborderez telle personnalité compliquée, vous contrôlerez bien davantage le chaos ambiant. Le seul secret, ici, consiste à rester ferme et à maintenir la frontière en place quand la personne tentera de la franchir, ce qui ne manquera pas de se produire. 5. Se préserver Les personnes intelligentes savent qu'il est important de survivre pour pouvoir mener d'autres combats, en particulier lorsque votre adversaire est toxique. Lors d'un conflit, si vous ne contrôlez pas vos émotions, celles-ci risquent de vous faire camper sur vos positions et de vous lancer dans une bataille dont vous sortirez gravement abîmé. Si vous analysez vos émotions avant d'y réagir, vous serez en mesure de choisir vos combats avec discernement, et de faire preuve de fermeté au bon moment. 6. Se concentrer sur les solutions plutôt que les problèmes Les objets sur lesquels vous fixez votre attention déterminent votre état émotionnel. Quand vous vous focalisez sur les problèmes que vous rencontrez, vous générez et entretenez des émotions négatives et du stress. Quand vous vous concentrez au contraire sur les actions destinées à améliorer votre personne et ce qui vous entoure, cela vous donne un sentiment d'efficacité personnelle qui engendre à son tour des émotions positives tout en réduisant votre stress. Dans vos rapports avec les personnes toxiques, le fait de fixer votre attention sur leur caractère difficile revient à leur donner du pouvoir. Cessez de penser aux problèmes qu'elles vous posent, et réfléchissez à ce que vous devez faire pour les gérer. En vous mettant aux commandes, cette approche vous rendra plus efficace et réduira la quantité de stress que provoquent les interactions avec elles. 7. Ne pas oublier Les personnes douées d'intelligence émotionnelle pardonnent facilement, mais elles n'oublient pas. La clémence suppose la capacité à passer l'éponge sur ce qui s'est passé pour passer à autre chose. Mais cela ne signifie pas que vous offrez une seconde chance à la personne en faute. Les gens intelligents n'aiment pas être inutilement dérangés par les erreurs des autres. C'est pour cela qu'ils passent dessus rapidement et prennent activement des mesures pour éviter d'avoir à en souffrir à l'avenir. 8. Bannir les pensées négatives Il nous arrive parfois d'absorber la négativité des autres. Il n'y a rien de mal à souffrir de la manière dont une personne vous traite, mais ce que vous vous dites les pensées que vous inspirent votre ressenti peut intensifier cette tonalité négative, ou vous aider à passer outre. Un monologue intérieur négatif est à la fois inutile et autodestructeur. Il vous entraîne dans une spirale émotionnelle descendante dont vous aurez du mal à sortir. Évitez donc à tout prix ce genre de rumination. 9. Prendre le temps de dormir Astronaut Images Astronaut Images J'insiste là-dessus depuis des années le sommeil est essentiel à l'amélioration de l'intelligence émotionnelle et la gestion du stress. Quand vous dormez, votre cerveau recharge ses batteries, de sorte que vous vous réveillez alerte et l'esprit clair. A l'inverse, la maîtrise de soi, l'attention et la mémoire sont diminuées quand on n'a pas assez ou bien dormi. Le manque de sommeil suffit à faire grimper les taux d'hormone de stress, même en l'absence d'une personne anxiogène. Une bonne nuit de sommeil vous rend plus positif, plus créatif et plus proactif dans votre manière de l'aborder. 10. Savoir demander de l'aide Il est tentant, bien que totalement inefficace, de tenter de tout gérer par soi-même. Or, pour ne pas se laisser envahir par les personnes toxiques, vous devez porter un regard lucide sur votre manière de les aborder et les défauts qu'elles présentent. Cela signifie que vous devez vous appuyer sur vos soutiens pour avoir le recul nécessaire. Tout le monde connaît quelqu'un au travail ou en dehors, qui est prêt à l'aider à se tirer au mieux des situations difficiles. Identifiez les personnes qui remplissent cette fonction dans votre vie et prenez la peine de leur demander leur avis et leur aide quand vous en avez besoin. Quelque chose d'aussi élémentaire qu'expliquer la nature d'une situation peut vous amener à adopter une autre vision du problème. La plupart du temps, les autres sauront repérer une solution qui vous échappe parce qu'ils sont moins investis dans la situation. En résumé Avant de mettre ce système à exécution, vous aurez besoin de vous soumettre à quelques tests. Le plus souvent, il s'agira d'interactions délicates avec des personnes problématiques. Heureusement, la plasticité du cerveau lui permet de s'adapter et de changer à mesure que vous vous exercez pour acquérir de nouvelles habitudes, même si vous échouez. Mettre en pratique ces techniques saines et antistress dans vos relations avec les personnalités difficiles l'entraînera à gérer les stress plus efficacement et mieux se protéger contre ses effets délétères. À voir également sur Le HuffPost

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